samedi, novembre 25, 2006

‘‘Limites’’

Cette prise de conscience, qui a probablement été la sienne, qui s’inscrit dans la sensation, des limites de son corps, d’elle-même limitée à son corps, soit exprimé dans un langage courant que nous ne sommes que notre corps, que nous n’avons qu’un corps, et qui suppose, derrière, l’importance de cette question, de ce point, c'est-à-dire l’importance de cette limite, que je ne suis que mon corps, donc surtout rien d’autre, et que les limites de moi sont celles de mon corps, tant par ses extrémités (mains, peau, etc.) que par son intérieur (maladies).

C’est une « prise de conscience » qui n’a jamais été la mienne, et même que je refuse, en la trouvant tout simplement fausse.


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